Toute salle publique ou privée susceptible d’accueillir au moins 150 personnes et où de la musique est diffusée doit avoir un permis d’environnement de classe 2. L’exigence n’est pas nouvelle (le décret date de 1999). Sa redécouverte médiatique entraîne incertitudes et fermetures. L’UCM peut apporter la solution.
Interpellé au parlement wallon, suite à la fermeture de plusieurs salles communales et paroissiales, le ministre Philippe Henry a rappelé l’obligation pour les locaux de spectacles et d’amusement – à l’exclusion des chapiteaux – dont la capacité d’accueil est supérieure à 150 personnes et qui sont équipés d’installations de sonorisation de posséder un permis d’environnement de classe 2.
Le but est de garantir que les activités dans ces salles ne nuisent pas à la qualité de vie des riverains, notamment en matière de bruit. Le permis est requis, même si les activités festives ne sont qu’occasionnelles.
Le nombre de locaux concernés est considérable et les exploitants sont très divers (privés, asbl, communes, fabriques d’église…). La vie associative pourrait être atteinte.
L’UCM rappelle donc qu’elle dispose d’experts en environnement. Une de leurs missions est d’aider toutes les entreprises wallonnes, quelles que soient leur nature et leur activité, à savoir quel permis est nécessaire et comment l’obtenir. La cellule environnement de l’UCM fournit une aide rapide, individualisée et… gratuite face aux formalités et obligations administratives.
Les salles de fêtes qui ne régularisent pas leur situation risquent des sanctions qui peuvent aller jusqu’à la fermeture pure et simple de l’établissement. Mieux vaut donc contacter un conseiller UCM pour pouvoir introduire rapidement un dossier adéquat à la Région wallonne. L’administration a un délai de rigueur de quatre mois pour délivrer un permis valable vingt ans.
Plus d’infos sur www.ucm.be/environnement, où se trouvent également les coordonnées des différents conseillers UCM.
Contact Presse UCM : Thierry EVENS – 081 48 62 61 – 0474 95 07 74